Le Paris Saint-Germain continue de bénéficier d’un calendrier allégé pour maximiser ses chances en Ligue des Champions.
Après avoir éliminé Liverpool aux tirs au but, le club de la capitale a vu la LFP accepter sa demande de report du match face à Nantes, initialement prévu entre ses deux confrontations contre Aston Villa en quarts de finale.
Si le FC Nantes s’était d’abord opposé à cette décision, la Ligue a tranché en faveur du PSG. Ce report au 22 avril crée néanmoins des tensions en interne chez les Canaris. Certains membres du club dénoncent une situation injuste, impactant la billetterie et la lutte pour le maintien : « On nous a mis devant le fait accompli. C’est inéquitable. »
De son côté, le président Waldemar Kita adopte un ton plus conciliant : « Si le PSG se qualifie pour les demi-finales, ce sera un peu grâce à nous. J’espère qu’ils m’inviteront s’ils vont en finale ! » Un soutien qui contraste avec l’amertume ressentie par une partie du club nantais. Un nouveau débat sur l’équité sportive en Ligue 1 est lancé.