OM : La mort du pape, Rowe, la défense… le résumé de la conférence de presse de Roberto De Zerbi 

Les Marseillais accueillent les Brestois ce dimanche dans un match crucial dans la course à la Ligue des champions. Roberto De Zerbi est passé en conférence de presse et a fait un point sur les dossiers chauds. 

Les cas Rowe

« Il a fait un bon début de saison. Il a aussi payé le changement de système et il s’est un peu perdu en route sur le terrain. Mais il a mérité de trouver plus de temps de jeu. Et maintenant, il me met en difficulté pour mes choix. Il peut débuter, même en avant-centre. Il faut l’accompagner. J’aurais voulu qu’il fasse un peu plus, mais peut-être aussi que je me suis parfois trompé en ne l’alignant pas.« 

Un point sur l’infirmerie

« Luiz Felipe, ça fait deux semaines qu’il est revenu. Il a eu un problème à l’oeil cette semaine, donc je ne sais pas s’il sera là demain. Il est malchanceux cette année. Bennacer a bien commencé, à Angers. Puis il a eu des problèmes avant Paris et Monaco, et il a perdu un peu son physique, mais j’ai l’impression qu’il va mieux. Mais c’est un soldat et un joueur que j’apprécie beaucoup, je suis heureux de l’avoir. Après, on verra s’il joue parce que Rongier aussi est en train de faire de bonnes choses »

La vie est belle à Rome !

« On a travaillé pendant cette semaine, on a passé un peu plus de temps ensemble. On n’est pas partis pour s’éloigner de Marseille, on s’y sent bien. Mais je pense que vu l’enjeu, et comme je voudrais vraiment qu’on redevienne ce qu’on était en décembre et en janvier… C’est créer quelque chose de différent, on a fait ce choix avec Pablo et Medhi, pour le bien de l’OM. On verra si c’est un bon choix. »

La mort du pape

« Le décès du pape ? Je ne suis pas pratiquant, je crois plus aux hommes qu’en l’Eglise, mais je suis allé voir l’homme. C’était une personne fantastique. Il a toujours été sensible, il a défendu les marginalisés, il est allé contre le pouvoir, c’est difficile de trouver quelqu’un comme lui. Même si je ne vais pas à l’Eglise, l’homme m’a beaucoup marqué, par ses prises de positions, parfois même à l’encontre de l’Eglise même. J’étais fier d’aller avec Pablo, Medhi et le staff amener des fleurs avec le nom de l’OM, ça m’a fait du bien, oui »

Source : Le Phocéen