Avant FC Nantes – OM, Roberto De Zerbi s’est présenté face à la presse ce vendredi 1er novembre.
Dimanche, une semaine après un Classico perdu contre le PSG (3-0), l’OM retrouve la Ligue 1 à Nantes pour la J10. Un choc important pour les Olympiens qui se doivent de réagir après une énorme claque prise la semaine passée. En conférence de presse ce vendredi 1er novembre, Roberto De Zerbi a parlé de la réaction attendue.
“Cette défaite, de par le fait que c’était le PSG et la physionomie du match, a été difficile à digérer. Cela a pesé les jours suivants et puis les garçons se sont bien entraînés. On veut aller de l’avant même si personne ne voulait que le match se déroule comme ça”, a d’abord analysé le technicien qui a défendu ses joueurs.
“Je pense que tous mes joueurs respectent le maillot de l’OM, je suis prêt à mettre ma main au feu là-dessus. On peut rater un match et mal jouer mais je ne remets pas en cause leur respect pour le club”, a assuré l’entraîneur de l’OM comme le rapporte RMC Sport.
Merlin devrait bien joueur contre Nantes
Si Roberto De Zerbi a plus ou moins confirmé que Quentin Merlin ne débuterait pas dimanche contre Nantes, le latéral gauche de l’OM devrait bien jouer. “Peut-être qu’il peut faire une partie du match, je ne sais pas combien de temps. On va en parler demain avec le staff médical”, a-t-il expliqué.
“On verra s’il vaut mieux le faire rentrer en cours de match ou le faire débuter. Merlin pèse dans le vestiaire et dans l’équipe car il va souvent l’avant. L’absence de Garcia contre Paris a aussi pesé contre nous malgré le bon match de Brassier dans un rôle qui n’est pas le sien”, a ajouté Roberto De Zerbi.
Contre Nantes, De Zerbi va faire des changements
Après les mauvaises performances de plusieurs cadres lors d’OM – PSG, des changements étaient attendus par les supporteurs marseillais. L’entraîneur olympien semble aller dans ce sens pour Nantes. “Peut-être qu’il y aura quelques changements au niveau des joueurs mais ça passe d’abord par la mentalité, le caractère et le courage. C’est plus difficile quand tout cela vient à manquer”, a conclue Roberto De Zerbi.