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L’OM et la FFF ont vécu eu une sorte d’imbroglio concernant la situation de Quentin Merlin.
Le cas de Quentin Merlin illustre bien la frustration croissante des clubs face aux conséquences des trêves internationales répétées, surtout dans un contexte de calendrier surchargé. La blessure du joueur, mal diagnostiquée par l’équipe médicale de la Fédération Française de Football (FFF), est un exemple particulièrement problématique. Après une première évaluation qui semblait minimiser la gravité de sa blessure, Merlin a été autorisé à rejouer malgré une lésion sous-estimée, aggravant probablement sa condition et nécessitant une absence prolongée au sein de l’Olympique de Marseille (OM).
Cette situation met en lumière la tension entre clubs et fédérations concernant la gestion des joueurs internationaux. Les clubs, responsables de la forme et de la disponibilité de leurs joueurs sur le long terme, se sentent souvent impuissants face à des décisions prises par les équipes nationales qui peuvent compromettre la santé de leurs joueurs. Pour l’OM, ce diagnostic erroné et le manque de précaution de la part de la FFF exacerbent les tensions, d’autant plus à l’approche du Classique contre le PSG, un match crucial pour les supporters et l’équipe.
Cette affaire pourrait relancer le débat sur la coordination médicale entre clubs et sélections, et sur la fréquence des trêves internationales, qui pèsent sur le physique des joueurs et sur les ambitions sportives des clubs.
